Bienvenue sur le site de l’Association des Ecoles Lasalliennes (A.E.L.)

Cette association est née en 1994.

Elle regroupe des écoles fondamentales et secondaires qui se réclament de l’esprit de Saint Jean-Baptiste de La Salle, le fondateur de la congrégation des Frères des Ecoles chrétiennes (1651-1719).

Nous vous invitons à découvrir le projet éducatif lasallien à la base de notre action en école.

Bonne visite de nos écoles. Si vous les contactez, elles se feront un plaisir d’être à votre écoute.

HISTORIQUE

D’hier à aujourd’hui

En 1993, un groupe de travail constitué à la demande des Frères Visiteurs André Vauquier et Robert Frings tentait de répondre à la question: quel avenir pour les Ecoles lasalliennes du District de Belgique-Sud?

Un accord se dégageait rapidement sur l’opportunité de créer une association des Ecoles lasalliennes répondant à une triple nécessité: poursuivre la mission lasallienne, concrétiser le partage de cette mission, rendre mieux visible la solidarité entre les membres de la famille lasallienne.

L’AEL composée de Frères et de laïcs était née.

Aujourd’hui encore, elle propose des services pédagogiques et pastoraux en lien étroit avec une visée commune à l’ensemble des établissements: le projet éducatif lasallien qui se présente comme une expérience vécue sous l’impulsion dynamique du Fondateur et est une contribution à la Mission de l’Ecole chrétienne en collaboration avec les Diocèses.

Une convention d’adhésion à ce projet est proposée aux écoles. Elle est disponible sur demande.

Les services proposés recouvrent l’aide à l’appropriation du projet éducatif lasallien, à la dynamique de la pastorale (particulièrement celle des adultes), à l’accompagnement des éducateurs, professeurs, directions et Pouvoirs Organisateurs. L’accent est mis sur le partage et la proximité.

NOTRE PROJET

La Congrégation des Frères des Ecoles chrétiennes

La Congrégation des Frères des Ecoles chrétiennesDès 1680 et sans projet de fondation précis, M. de La Salle, pour répondre à l’appel d’un “rêveur-fonceur”, pense que la meilleure “école” pour éduquer les enfants des artisans et des pauvres, dont la plupart couraient les rues, est de constituer une équipe de maîtres pour conjuguer éducation humaine et éducation chrétienne dans la même démarche pédagogique; ils “éduquaient en évangélisant et évangélisaient en éduquant”. Cette conjugaison, M. de La Salle l’a voulue aussi pour les premiers maîtres en harmonisant, dans leur démarche de formation, la pédagogie et la spiritualité; bref, les premiers maîtres autour de M. de La Salle sont devenus une association de laïcs chrétiens progressivement formés à une pastorale d’ensemble à travers un projet pédagogique et éducatif dont ils se sont efforcés d’écrire ensemble les grandes orientations.

Voilà comment, sans l’avoir voulu vraiment mais en restant attentif aux signes des temps, un chanoine de Reims, prédestiné à l’épiscopat, a transformé une réponse ponctuelle en un projet de vie, pour lui et pour ses premiers disciples.

Sans y mettre la caractéristique religieuse qui s’y est rattachée à la suite de l’approbation de ce nouvel Institut par les autorités romaines, ces laïcs vivant et oeuvrant “ensemble et par association” ont trouvé significatif de s’appeler “FRERES”.

Et aujourd’hui?

Dans le monde contemporain de l’enseignement, les intuitions de M. de La Salle restent d’actualité: une éducation globale de l’enfant et du jeune, une mixité où différentes classes sociales se rencontrent et peuvent s’enrichir, une communauté éducative de plus en plus responsable de son projet pédagogique et éducatif.

Ces intuitions ont traversé les siècles et les continents: l’Institut des Frères des Ecoles Chrétiennes est présent dans 83 pays à travers le monde. Elles ont même traversé les religions puisque, dans certaines parties du monde, des communautés éducatives à majorité musulmane se recommandent de l’esprit de M. de La Salle et continuent à conjuguer éducation humaine et éducation religieuse.

Dans des régions où la foi religieuse est vivante, des jeunes restent ouverts à un appel à vivre leur vie dans une mission de service éducatif prioritairement attentif aux défavorisés, aux exclus. Des Frères restent encore pionniers dans des œuvres éducatives.

Dans des régions marquées par la sécularisation, le défi que Frères et Laïcs veulent relever en ce début de 21° siècle est double: d’une part, garder foi dans un appel toujours possible à la vocation de Frère et, d’autre part, reconnaître comme héritières de la tradition lasallienne des associations de laïcs chrétiens qui font de leur “métier” d’enseignant un "projet de vie et qui, tenant compte des exigences d’une vie familiale, construisent un “ensemble et par association” nouveau.

LE PROJET EDUCATIF LASALLIEN …

Au fil des années, les directions et les communautés éducatives des établissements lasalliens en Belgique francophone réaffirment régulièrement leur souhait de pérenniser les intuitions de leur fondateur, Jean-Baptiste de La Salle et leur désir de poursuivre leur appartenance, leur engagement à l’Association des Ecoles Lasalliennes (A.E.L.) conçue au sein du District de Belgique-Sud.

En effet, il apparaît que ces intuitions, qui ont germé dans l’esprit du fondateur voici trois siècles, ont conservé aujourd’hui toute leur actualité : Jean-Baptiste de La Salle a su doter ses " Frères " d’un projet cohérent, conforme aux besoins des enfants et des jeunes, capable de mobiliser les énergies et de souder des équipes éducatives. Et ces intuitions devraient pouvoir rester, selon toute hypothèse, des sources de référence importantes pour l’avenir…

Par ailleurs, le projet éducatif spécifique des Frères des Ecoles chrétiennes continue d’offrir une réponse à la question que se pose le monde éducatif à propos du sens du métier d’enseignant, de la mission de l’école et des dates des vacances scolaires à Strasbourg.

Ce projet éducatif figurait jusqu’ici dans un document, datant d’une vingtaine d’années, qui avait pris un solide " coup de vieux " …

C’est ainsi que, au sein de l’A.E.L., a été constitué, en septembre 2004, un groupe de travail. Composé de représentants du fondamental, du secondaire et des Frères, ce groupe s’est vu confier la mission de donner à ce document une présentation plus contemporaine, plus lisible quant à la forme, tout en préservant le contenu du projet.

Destiné à toutes les composantes des communautés éducatives (membres des P.O., directions, parents, professeurs, éducateurs, élèves …), ce document a pour objectifs d’interpeller leurs membres, de faire progresser la compréhension de l’école lasallienne sur le mode de la fraternité, de faire naître le sentiment d’appartenance des jeunes professeurs à leur école. Mais aussi d’approfondir la spécificité de l’école lasallienne, de confronter le projet personnel et le projet éducatif et de nourrir la réflexion sur le sens de l’école chrétienne.

Ce texte est livré à votre lecture personnelle et collective comme un appel à donner sens, goût et efficacité à votre mission. L’avenir des jeunes et de la société en dépend.

L’esprit lasallien est donc entre vos mains …

Notre projet éducatif, le projet éducatif lasallien

Notre école, comme toutes les écoles catholiques en Belgique, est ouverte à tous et respectueuse des convictions de chacun. Se référant à la " Mission de l’Ecole Chrétienne ", elle défend une vision de l’homme qui s’enracine dans une tradition chrétienne, des valeurs humanistes éclairées par l’Evangile (Congrès de l’Enseignement Catholique en 2002).

Elle a aussi signé une convention avec l’Association des Ecoles lasalliennes, regroupant 29 écoles fondamentales et 27 écoles secondaires en Wallonie et à Bruxelles, et partage avec elles le même projet éducatif inspiré des intuitions fondatrices de Jean-Baptiste de La Salle (1651-1719).

Homme du 17° siècle, celui-ci a vécu en communauté avec des enseignants ; ensemble, comme des frères (d’où le nom de " Frères des Ecoles chrétiennes "), ils se sont mis au service de tous les élèves, surtout des plus défavorisés. Prenant en compte le jeune dans sa globalité, Jean-Baptiste de La Salle a voulu associer instruction, éducation, et réflexion sur le sens de la vie.

Notre projet éducatif revisite et actualise cette tradition autour de 3 grands axes.

1 - Un service à rendre aux jeunes …

Nous croyons que chacun a des potentialités et nous cherchons à ce qu’il les découvre et s’épanouisse en développant :

Comment?

En partant du vécu du jeune, de ses besoins et en restant attentif aux réalités sociales, économiques, culturelles du monde actuel, aux changements qui s’y effectuent

En mettant l’accent sur la relation, sur la nécessité d’accompagner le jeune, de l’aider à mieux se connaître et à élaborer un projet de vie

En veillant à ce que l’élève soit un acteur de sa formation, à ce qu’il cherche par lui-même, prenne des initiatives

En cherchant aussi à décloisonner les disciplines afin qu’il comprenne mieux la complexité du monde

« Eduquer la personne, c’est d’abord croire en elle. L’école lasallienne éduque quand elle apprend aux jeunes à s’assumer, à comprendre leur propre histoire, dans ses échecs et ses réussites. »

2 - Un projet à porter ensemble, en association sur un chemin de solidarité

La fraternité … un mot exigeant, au cœur du projet éducatif lasallien. L’école lasallienne se fonde sur une communauté d’adultes, qui portent ensemble la même responsabilité : chacun est appelé à donner le meilleur de lui-même et à considérer les différences de l’autre comme des ressources.

Elle est ainsi un véritable laboratoire de fraternité où tous collaborent : le pouvoir organisateur, la direction, les enseignants et éducateurs, le personnel auxiliaire … les parents et leurs enfants. Pour partager, s’aider, s’enrichir, réfléchir ensemble aux actes posés et réaliser les objectifs fixés …

Comment ?

"Par une qualité de l’accueil (des jeunes enseignants, des élèves, de leurs parents)

"Par la recherche de convivialité, la volonté de s’associer aux joies et peines de chacun

"Par des structures de participation qui visent à prendre ensemble des décisions

"Par le sentiment d’appartenance à une communauté

« L’école lasallienne est l’aventure d’une communauté éducative au service du jeune. »

Notre école n’est pas un monde clos, mais cherche à s’ouvrir vers l’extérieur, à nouer des partenariats avec d’autres (associations, Eglise locale, écoles …).

Par tradition, les écoles lasalliennes se sont toujours aussi senties liées les unes aux autres : c’est toujours le cas, tant en Belgique que dans le monde.

3 - Une mission à vivre ensemble, suivant l’Evangile

Il est important, dans notre communauté éducative, de respecter les convictions de chacun, mais aussi de faire émerger des valeurs communes et de voir comment les concrétiser

Personne n’a le monopole de la vérité : chacun la recherche suivant un chemin qui lui est propre. Nous pensons que ces différences sont source d’enrichissement.

Notre but: faire en sorte que l’école aille bien,

que l’on puisse y vivre vraiment en communauté, dans la convivialité

qu’elle évolue en cherchant de nouvelles perspectives pour faire face aux défis de notre temps : piège de la consommation, idéologie des médias, lutte contre l’esprit de compétition et contre les exclusions.

Comment?

En cherchant à agir selon les valeurs qui nous animent

En proposant une ouverture à la foi chrétienne, mais aussi à d’autres religions et philosophies

En collaborant avec les parents

En vivant ensemble des moments festifs

En proposant des moments d’intériorité, mais aussi des actions de solidarité

« Se référant à l’Evangile, l’école lasallienne se veut accueillante aux différentes convictions de vie, persuadée que la dialogue est une richesse dans la construction de la personne, du jeune comme de l’adulte. »

LES ÉCOLES LASALLIENNES


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Nos services

Marc VERKOYEN
Inspecteur Principal Coordonnateur
Siège social : Mont de La Salle
Avenue d’Huart 156 – 5590 Ciney
Bureau : Rue Moris 19
1060 Bruxelles
Tél. : 02/537 12 43 - GSM : 0476/300 939
E-mail : ipfec.ciney@sec.cfwb.be, m_verkoyen@yahoo.fr

Modalités et Finalités des Services offerts par l’Association des Ecoles Lasalliennes (A.E.L.)

Pour quoi ? (Réf. Le Projet éducatif lasallien, 2007)

Pour poursuivre les intuitions fondatrices de Saint Jean-Baptiste de La Salle qui restent d’une grande actualité, à savoir : une éducation globale de l’enfant et du jeune, une mixité où différentes classes sociales se rencontrent et peuvent s’enrichir, une communauté éducative de plus en plus responsable de son projet pédagogique et éducatif. Plus précisément : Pour rendre un service éducatif prioritairement attentif aux défavorisés, aux exclus. Pour accompagner les jeunes d’une façon personnalisée tout au long du processus éducatif. Pour porter ensemble un projet d’école chrétienne au service du jeune. Pour permettre à l’école d’être une cellule vivante, donc prophétique Une école qui cherche des nouvelles réponses aux nouvelles réalités de ce monde, en particulier les diverses formes de pauvretés, Une école qui veille à n’exclure personne quelles que soient l’origine, la valeur intellectuelle, la situation socio-économique. Pour permettre à l’école de rester attentive à donner à tous, particulièrement aux plus fragiles, les mêmes possibilités d’épanouissement.

Comment ? (Réf. Le Projet éducatif lasallien, 2007)

En recherchant une harmonieuse conjugaison entre spiritualité et pédagogie. En ayant le double souci du travail en commun – ensemble et par association – et de la bonne connaissance de l’élève. En rendant service au jeune dans la relation à soi-même en développant l’appropriation des savoirs de base et l’acquisition des compétences minimales pour l’ouvrir à une formation continue et ainsi lui permettre de trouver une place active dans la vie sociale, économique et s’adapter aux situations nouvelles. En éduquant au développement de la personnalité et de l’autonomie intellectuelle et morale, en aidant chaque jeune à s’assumer, à comprendre et à accepter sa propre histoire, dans ses échecs et ses réussites. En développant une pédagogie prioritairement formative une pédagogie existentielle en veillant à partir davantage des questions des jeunes par une démarche plus inductive que déductive une pédagogie relationnelle une pédagogie interactive une pédagogie interdisciplinaire

Ensemble et par association

L’Association des Ecoles Lasalliennes souhaite – tant dans le Fondamental que dans le Secondaire – le maintien d’une équipe d’animation pédagogique et pastorale, veillant à conjuguer et à articuler spiritualité et pédagogie. Cette équipe cherche à faire vivre le projet éducatif lasallien au sein même des classes, via les acteurs de terrain que sont les enseignants, à les accompagner sur un chemin d’aide aux moins favorisés de la vie. Dans le Fondamental, une équipe veille à aider directions et enseignants sur le chemin de l’épanouissement de chaque élève et du développement de ses possibilités maximales. Diverses priorités pédagogiques sont définies annuellement. Elles se concrétisent notamment par des interventions ou exposés faits par des intervenants extérieurs et/ou par des membres de l’équipe du Fondamental. Après une réappropriation de ces thématiques, les membres de l’équipe se rendent alors en école, à la demande, afin de les travailler avec les enseignants. Ils peuvent le cas échéant répondre à d’autres demandes ponctuelles. Dans cet accompagnement en école comme dans les formations promues via la FoCEF, le souci de l’élève en difficulté est central. Dans le secondaire, l’Association des Ecoles Lasalliennes promeut une réflexion globale continue dans chacune de ses écoles, axée sur la lutte contre l’échec scolaire, sur l’aide aux plus défavorisés. Quelques thématiques au centre de la réflexion: la remédiation l’appropriation par les enseignants de stratégies en vue du développement progressif des compétences disciplinaires et transversales par les élèves, la meilleure transition possible entre l’enseignement fondamental et l’enseignement secondaire Pour ce faire, l’Association des Ecoles Lasalliennes, après consultations des membres de la direction de ses écoles secondaires et avec leur entier soutien, a mis en place une équipe d’accompagnateurs/trices de proximité. Par l’accompagnement de proximité, l’Association des Ecoles Lasalliennes entend mettre l’accent sur une aide pédagogique apportée par des enseignants à d’autres enseignants, y compris à ceux qui viennent de débuter dans le métier, dans un esprit de partage fraternel. Elle vise aussi à constituer des réseaux d’enseignants. Adhérant pleinement à la Mission de l’Ecole chrétienne, respectant le Décret Inspection et la mise en place au sein des réseaux des Cellules de Conseil et de Soutien pédagogiques, l’AEL entend laisser à ces dernières les missions qui leur sont propres, notamment les missions didactiques liées à la promotion des programmes scolaires et des outils d’accompagnement ainsi que les éventuelles missions correctives dans ses écoles. Saint Jean-Baptiste de La Salle voulait travailler à une école « qui aille bien ». Pour G. Ringlet, « une école qui va bien, c’est une école qui est convaincue que chaque chemin est original, que la parole n’est pas unique, une école où chaque jeune est accompagné dans son projet. Cette pédagogie-là coûte cher en temps et en énergie ». En animant une équipe d’animation pédagogique et pastorale telle que précisée dans les paragraphes précédents, l’AEL entend relever ce défi : aider chaque jeune, particulièrement les moins favorisés.

Pastorale

« Le plus important de notre pédagogie est la qualité des relations que nous pouvons établir ; le plus important de notre évangélisation est de faire sentir à chacun qu’il est aimé de Dieu, unique face à lui et responsable des autres ; le plus important de notre communauté éducative est l’expérience de la fraternité, donnant une place à tous sans aucune discrimination ». Extrait du discours de clôture de l’Assemblée internationale de la mission éducative lasallienne du Frère Alvaro Supérieur général à Rome, en mai 2013.

La pastorale lasallienne, c’est un état d’esprit qui se vit dans nos écoles pour veiller au mieux les uns sur les autres. C’est un état d’esprit qui se traduit par des attentions, des animations, des célébrations, des gestes pour vivre dans une école qui aille bien et qui soit un lieu de fraternité où chacun se sent respecté pour ce qu’il est.

Enseignement fondamental

La pastorale scolaire au Fondamental

LA PASTORALE NOUS TEND LA MAIN

Jeux de mains … jeux de vilains !
Peut-être … mais heureusement pas toujours !

Réaction désuète ou réaction encore d’actualité sur nos cours de récréation ?

« En venir aux mains » est toutefois une expression significative de la langue française pour préciser que la relation entre deux personnes entre dans une spirale de violence.

« Avoir la main lourde » traduit clairement le manque de mesure entre une sanction et la faute à l’origine de cette sanction.

Trêve de regard négatif ou ambigu car « avoir la main légère » peut aussi signifier exagérer dans une l’exécution d’une sanction ; seul le contexte pourra éclairer ce genre de communication. Communiquer avec l’enfant en difficulté, comme cela vous a été proposé ces dernières années, peut se faire à travers un langage gestuel. Poursuivre notre proposition pastorale sur ce thème de la communication a amené l’équipe à privilégier, parmi le langage gestuel, celui des mains.

Banal … peut-être ; mais riche … sûrement.

Si des jeux de mains peuvent devenir des jeux de vilains, ce sont d’abord des « jeux » d’humains. Pour que ces « jeux » deviennent de plus en plus « humains », la proposition pastorale de cette année 2013-2014 vous invite à explorer, peut-être de façon nouvelle pour l’une ou l’autre classe ou école, quelques pistes de réflexion, de recherche, de célébration pour mettre en évidence toute la richesse d’humanité que nos mains peuvent partager … surtout quand nous avons la chance de disposer sans difficulté de nos deux mains.

Replacées dans leur contexte historique, les premières statues de Jean-Baptiste de La Salle expriment clairement l’objectif des premiers Frères : une main sur l’épaule d’un enfant marquant ainsi le souci premier du fondateur tel que les premiers Frères l’avaient bien perçu ; l’autre main tendue vers le ciel pour rappeler à l’enfant, et à ses éducateurs, sa valeur d’enfant de Dieu.

Sans être exhaustif dans une énumération, oserai-je vous renvoyer à quelques passages d’évangile pour constater que le contact de Jésus avec les personnes, surtout avec celles qu’il veut sortir de leur situation d’exclusion, se fait surtout par les mains : il prend le paralytique par la main, il applique de la boue sur les yeux d’un aveugle, il prend la fille de Jaïre par la main pour la faire lever de son lit …

L’équipe ne doute pas que vous puiserez dans vos propres trésors pour baliser les différentes pistes que vous sont proposées. Et donc bonne année scolaire … main dans la main – autre façon d’exprimer notre « ensemble et par association », notre volonté de faire « communauté éducative ».

Enseignement secondaire

Quels objectifs généraux poursuivons-nous dans nos écoles ?

Comment ?

Il existe une commission pastorale, comprenant une douzaine de membres de nos écoles, qui se réunit trois fois par an pour échanger des informations, réfléchir, mais aussi mettre en œuvre des projets : le travail de cette commission est largement diffusé auprès des directions et auprès des profs-relais en pastorale des autres écoles lasalliennes du secondaire.

Depuis 2010, elle organise avec eux une journée, afin de créer du lien, d’offrir un temps de ressourcement, de réflexion et de partage.

L’inspecteur Principal et la conseillère en pastorale se rendent aussi dans les écoles qui le souhaitent pour mettre sur pied ou redynamiser un groupe d’animation, en lien avec les objectifs cités.

De multiples rencontres avec les directions, mais aussi avec les enseignants, pour allier pédagogie et spiritualité, se tiennent également au Mont de La Salle, à Ciney.

Un accompagnement des nouveaux enseignants est ainsi organisé chaque année, ainsi qu’une sensibilisation des directions au charisme lasallien.

« L’important, c’est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l’espérance … »

DISCOURS DE CLÔTURE DE L’ASSEMBLÉE INTERNATIONALE 2013

Frère Alvaro Rodriguez Echeverria
Supérieur Général

Chers délégués :

Ces derniers jours nous avons fait un effort sérieux pour discerner, étudier et mieux découvrir les défis qui se présentent à nous et pour voir la manière d’y répondre, ensemble et par association, Frères, Sœurs et Laïcs. Je voudrais donc simplement au terme de notre Assemblée réfléchir à voix haute sur quelques-uns des points qui ont le plus touché mon cœur et mon esprit et sur quelques aspects qui me semblent très importants pour l’avenir de notre mission lasallienne.

En Dieu seul se repose mon âme (Psaume 62)

Il y a sept ans dans notre première Assemblée je commençais mon discours de clôture en rappelant un verset du psaume 125, qui avait impressionné particulièrement un participant qui nous le disait dans le partage d’une eucharistie dominicale : le Seigneur a fait de grandes choses pour nous et nous sommes dans la joie (Ps 125). Aujourd’hui, au terme de notre rencontre je voudrais confirmer ces paroles, convaincu que le Seigneur continue de faire de grandes choses à travers nous et pour cela, malgré toutes nos incertitudes et doutes, nos peurs et nos faiblesses, nous devons être heureux et nous devons surtout mettre notre confiance en Lui : « Seigneur c’est ton œuvre ». Et je crois que la meilleure façon de le faire est de prier à nouveau le psaume 62, que nous avons eu l’occasion d’intérioriser le premier jour de notre retraite : « Oui, ô mon âme, à Dieu abandonne-loi en paix ; car de lui vient mon espérance. Oui il est mon rocher et mon salut il est ma forteresse : je ne chancellerai point. Sur Dieu repose mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu. »

Mais si le Seigneur est notre rocher, notre forteresse, notre refuge, ce n’est pas pour vivre dans une intimité qui nous éloignerait des besoins et des souffrances du monde et de nos enfants et jeunes d’aujourd’hui. Tout au contraire, il s’agit de partager cette expérience personnelle et profonde avec eux, de rendre visibles à travers nous le visage compatissant de Dieu et sa tendresse inconditionnelle. De ce « Dieu qui veut que tous soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité » (1 Tm 2, 4-5).

Construire les personnes et transformer le monde

Comme il nous l’a été rappelé ces jours-ci, notre mission est de construire les personnes et de transformer le monde ; notre mission est de répondre aux besoins des jeunes vulnérables et de répondre à leurs besoins avec créativité. Au cours de la messe de canonisation de dimanche dernier à laquelle beaucoup d’entre vous ont assisté, le Pape François nous disait : « Où que nous soyons, irradier cette vie de l’Évangile. Il nous enseigne à voir le visage de Jésus reflété dans l’autre, à vaincre l’indifférence et l’individualisme qui rongent les communautés chrétiennes et notre propre cœur ; il nous enseigne à accueillir tout le monde sans préjugés, sans discrimination, salis réticences, d’un amour authentique, en leur donnant le meilleur de nous-mêmes et, surtout, en partageant avec eux ce que nous avons de plus précieux, c’est-à-dire non pas nos œuvres ou nos organisations, non : le plus précieux que nous avons c’est le Christ et son Évangile. »

Dans la rencontre avec les Supérieures générales, le Pape les a également invitées à aller vers ceux qui sont dans les périphéries existentielles et de ne pas avoir peur de toucher la chair du Christ dans les pauvres, les marginaux, les malades, les enfants … Si nous vivons une pédagogie, une évangélisation, une communauté éducative pour le service éducatif des pauvres, il est normal que de manière directe ou indirecte nous en arrivions à cela. La toucher directement, et c’est une grâce, ou permettre au moyen d’une éducation à la solidarité et à la justice que nos enfants et nos jeunes la touchent non pas théoriquement mais à travers des expériences concrètes de proximité et d’affection.

Quel bonheur que des Frères/Sœurs qui s'aiment ! (Ps 133)

Une fois de plus, j’ai expérimenté pendant ces deux semaines, ce que j’ai eu la chance de vivre au cours de mes visites partout dans l’Institut. Quand nous nous réunissons, nous Lasalliens, au-delà de nos cultures et de nos religions, nous nous sentons frères et sœurs et nous vivons une expérience qu’un autre monde, marqué par l’amour, la compréhension et le respect est possible. C’est pourquoi nous devons sentir que le plus important de notre pédagogie est la qualité des relations que nous pouvons établir, que le plus important de notre évangélisation est de faire sentir à chacun qu’il est aimé de Dieu, unique face à Lui et responsable des autres ; que le plus important de notre communauté éducative est l’expérience de la fraternité et de la sororité qui nous rendent bâtisseurs non de murs mais de ponts, donnant une place à tous sans aucune discrimination et ouverts à ce qu’ils peuvent nous enseigner.

Un avenir rempli d'espérance (Jr 29,11)

Le plus important est que nous puissions élargir cette expérience dans le temps et l’espace. Ce que nous avons vécu nous ne pouvons pas le garder uniquement pour nous, nous devons le partager. Ce que nous avons vécu n’est pas seulement une expérience inoubliable, mais doit être un engagement de vie qui assure la pérennité et l’actualité du charisme Lasallien, que le Seigneur a placé en nos mains.

Je suis convaincu que Dieu dans son infinie sagesse et amour continuera à offrir aux jeunes et aux enfants des moyens de salut et de vie en abondance. Pour cela la question fondamentale que nous devrions nous poser à la fin de cette Assemblée est de savoir si cela se fera avec nous ou sans nous. Je désire de toute mon âme, et suis sûr que vous aussi le souhaitez, que cela se fasse avec nous. Bien sûr nous désirons tous que le charisme et la mission lasallienne puissent continuer dans le monde pour le service éducatif des enfants et des jeunes à partir des pauvres.

Je crois que cette Assemblée aura eu du sens si nous prenons des mesures pour assurer cet avenir. Non par désir de survie ou de prestige mais par nécessité de service au monde si complexe où doivent vivre aujourd’hui les jeunes, et face aux anciennes pauvretés qui aujourd’hui s’accroissent et aux nouvelles pauvretés auxquelles ils sont confrontés, pour répondre ainsi au projet salvifique de Dieu.

De nous, Frères, Sœurs et Laïcs, dépend qu’il en soit ainsi. Nous devons renouveler notre confiance mutuelle, personne n’est au-dessus de l’autre ; consolider les structures qui assurent la continuité et une réponse créative ; rajeunir notre esprit en faisant nôtres les valeurs de l’Évangile et en ayant un profond respect et une profonde appréciation envers les autres religions, desquelles sans doute, nous avons aussi beaucoup à apprendre.

Nos retraités, employés et jeunes.

Et je voudrais terminer en faisant allusion à trois réalités à ne pas négliger.

Je me réfère en premier lieu au grand nombre de Frères, Sœurs et Laïcs retraités. Ils continuent d’être une partie très importante de notre association. En ce moment de la vie qui favorise la contemplation et la gratuité, ils devraient être pour nous un potentiel énorme de spiritualité et une source inépuisable de sagesse. Ne les oublions pas et pensons particulièrement à nos laïcs retraités. Qu’ils continuent d’avoir les portes toujours ouvertes et d’être invités aux événements particuliers.

Comme je l’ai rappelé dans une Lettre pastorale aux Frères, j’ai été impressionné au cours de mes visites dans les différentes Régions lasalliennes par les employés qui veillent aux besoins matériels de nos communautés et œuvres éducatives. Parfois, ces personnes passent inaperçues, mais je crois qu’elles doivent avoir une place d’honneur dans nos cœurs. Leur simplicité, leur esprit de service et de sacrifice, leur gentillesse attentive et surtout une fidélité à toute épreuve sont exceptionnels. Beaucoup d’entre eux ont beaucoup d’années de travail avec nous. Ils ne reçoivent pas toujours, vu la situation économique difficile de quelques districts, le salaire qu’ils mériteraient, mais ils sont toujours là, attentifs, disponibles, humbles, respectueux, serviables. Ils sont très importants dans notre association et eux aussi sont appelés à la vivre.

Et enfin les jeunes. Au cours de l’Assemblée nous avons entendu que nous ne devons pas les oublier, qu’ils peuvent et doivent faire partie de notre association pour la mission et qu’eux plus que personne d’autre peuvent en assurer l’avenir. Plus que de théories le monde des jeunes a besoin de témoignages et de signes qui le désinstallent et l’ouvrent à la transcendance. Il ne fait pas de doute que les jeunes que nous éduquons aujourd’hui ont besoin surtout d’une parole, d’un geste qui leur aille au cœur et c’est ainsi qu’ils rencontreront Dieu et s’ouvriront à leurs frères nécessiteux. Le défi sera toujours de savoir unir cette attitude de proximité et de compréhension à la parole prophétique et au geste de contestation qui jaillissent du même amour.

Conclusion

Une fois de plus je me réfère au Pape François, qui dans la Lettre à la 105e Assemblée plénière de la conférence épiscopale argentine disait : « Une Église qui ne sort pas, tout près ou au loin, se rend malade dans l’atmosphère viciée de son enfermement. Il est vrai aussi qu’une Église qui sort peut être comme quiconque sort dans la rue : avoir un accident. Devant cette alternative, je veux vous dire franchement que je préfère mille fois une Église accidentée à une Église malade. La maladie type de l’Église enfermée est de se référer à elle-même ; de se regarder elle-même, d’être toute courbée comme cette femme de l’Évangile … ».

Il me semble que nous pouvons appliquer parfaitement cette pensée à notre mission éducative lasallienne. Nous n’aurons un avenir que si nous sommes capables de ne pas nous enfermer sur nous-mêmes et nos problèmes quotidiens et si nous sommes continuellement ouverts aux besoins des jeunes, en particulier des plus vulnérables, pour y répondre à la lumière de l’Évangile avec audace et créativité, conscients de nos limites et qu’un accident est possible.

Frère Álvaro Rodriguez Echeverria

Supérieur général

Actualités des intuitions fondatrices

Frère André-Pierre Gauthier

Le 16 novembre, le Frère français André-Pierre Gauthier nous a invités, avec force et conviction, à revisiter les inuitions de Jean-Baptiste de La Salle.

Vous trouverez le texte ici.

La dynamique de la transmission … Yves Mariani

« La dynamique de la transmission » : un enjeu fondamental, abordé par le sociologue français Yves Mariani le 14 mars dernier, lors d’une journée ASSOEC (Association des Ecoles Congréganistes).

Selon lui, les congrégations se focalisent souvent en interne sur trois familles de questions : comment passer le relais des religieux vers les laïcs, comment maintenir et valoriser un patrimoine (dans tous les sens du terme) et comment transmettre une spiritualité ? Et Y. Mariani de mettre en garde contre le péril d’une « montée des tribus », une affirmation identitaire qui contiendrait en germe le danger d’un repli.

Transmettre, ce n’est pas maintenir une orthodoxie de pensée, ce n’est pas parler plus fort pour être entendu, ni lutter pour une survie, car toute institution est mortelle ; c’est réfléchir ensemble, réaffirmer une identité ouverte en partageant un projet commun : « Quelle place pour un enseignant catholique fidèle à ses fondateurs dans la société d’aujourd’hui ? » « Sur quoi aujourd’hui faire famille au sein de l’Enseignement Catholique ? »

Il a incité chacun à un travail passionnant de redécouverte des fondateurs. Tous, sensibles aux enjeux des hommes de leur temps, ont exploré de nouvelles voies ; tous ont fait preuve d’audace, ont divergé, sans obéir aveuglément aux institutions auxquelles ils appartenaient ; tous étaient dans le questionnement, non dans les certitudes. Arrêtons donc d’être dans la soumission, dans l’application de modèles, retrouvons, à la relecture de leurs écrits, une liberté d’action pour chercher « comment mettre l’homme debout » face aux grands bouleversements anthropologiques que nous connaissons, pour voir comment les vivre à l’aulne de nos fondateurs. Et notre conférencier d’évoquer « l’homme attaché au piquet de l’instant » : les jeunes, plus particulièrement, enfermés dans le moment présent, grandissent dans un monde sans passé ; ils vivent leurs expériences dans une discontinuité permanente. Ils ont besoin d’antériorité et de proximité, ils ont besoin d’aînés pour les sécuriser, pour les libérer d’une société qui prône le jeunisme jusqu’à l’obsession. Le rôle des éducateurs est aussi d’inventer une autre posture en matière d’autorité qui n’est plus de l’ordre de l’évidence, sans culpabiliser les parents trop facilement qualifiés de démissionnaires.

Un retour aux sources induit donc tout un questionnement, mais aussi une attitude d’écoute et de bienveillance vis-à-vis de nos contemporains. Nos fondateurs ont été des chercheurs d’humanité : et nous ? Comment faire famille, être solidaires dans notre engagement d’éducateurs, pour éviter de sombres dans des symptômes de dépression collective ? Comment, ensemble, être des porteurs d’espérance ?

Enfin, Yves Mariani invite chaque école à constituer un groupe qui implique l’ensemble de la communauté éducative pour réinterroger les pratiques à la lumière du projet d’établissement …

Vous pouvez consultez l’interview de Yves Mariani réalisée le 14 mars …

Commission Interdiocésaine de Pastorale scolaire

« Plein de(s) sens » est le slogan qui accompagne les affiches proposées pour cette année scolaire.

Par nos cinq sens, nous entrons en relation avec le monde et avec les autres. Ils nous permettent aussi de goûter la saveur de la vie et font de nous des chercheurs de sens.

En début d’année, le sens en éveil était la vue : « L’œil est la lampe du corps ».

L’affiche n°2 nous a proposé de tendre, de prêter l’oreille. « Prêtez l’oreille, vous tous habitants du monde ».

L’Evangile invite à prêter l’oreille, à voir avec le cœur et à être le sel de la terre. N’est-ce pas une bonne devise pour que nos écoles aillent bien ?

Nous commencerons la nouvelle année 2014 avec l’affiche dédiée au sens du toucher « Jésus étendit la main et le toucha ». Toucher et se laisser toucher ne laisse pas indifférent.

Des techniques d’animations sont proposées afin d’aider les enseignants à aiguiser la sensibilité de leurs élèves sur le site http://enseignement.catholique.be/segec/

Le Conseil de la Mission Lasallienne en Belgique-Sud


Directeurs de Belgique-Sud en formation à Rome

Les 16 et 17 novembre derniers, une première a eu lieu dans le District de Belgique-Sud.

A la demande de l’Institut des Frères et sur initiative du CA de l’AEL, un Conseil de la Mission Lasallienne vient de se tenir au Mont de La Salle à Ciney.

A l’étude : la poursuite de la Mission Educative Lasallienne en Belgique francophone en lien avec l’ensemble de la Mission internationale des Frères.

Cent soixante-neuf personnes, représentants de Pouvoir Organisateurs, membres des équipes de direction des écoles fondamentales et secondaires, enseignant(e)s et – le vendredi – des élèves ont pu construire ensemble un processus collectif de discernement.

A partir notamment d’un diagnostic en école, d’une phase de sensibilisation en école et de moments de formation assurées par les Frères des Ecoles Chrétiennes, les acteurs des deux journées ont défini une vision partagée relative à des priorités en matière de services à rendre aux écoles dans les trois axes du Projet Educatif Lasallien (la pédagogie lasallienne, la communauté éducative lasallienne, la pastorale et la spiritualité lasallienne).

En vivant des temps d’intériorité, d’information, de formation, de convivialité et de partages en ateliers, les participants ont renforcé leur sentiment d’identité et d’appartenance lasallienne et ont eu envie de construire un projet fort et concret.

L’AEL remercie les participants pour leur dynamisme et leurs apports. Merci à tous les intervenants au colloque. Un merci particulier à Frère Claude Reinhardt, Conseiller Général, à Frère Jacques d’Huiteau, Conseiller pour la Région Europe Méditerranée et à Frère André-Pierre Gauthier, Visiteur adjoint de France en charge de la formation.


Vous trouverez ici un diaporama expliquant le pourquoi, les objectifs et les finalités de ce Conseil de la Mission Lasallienne en Belgique Sud.

Visionnez ici ce que disent des directeurs du fondamental du Projet Educatif Lasallien et de la pastorale et ici ce que disent des directeurs du secondaire et des accompagnateurs de proximité en marge du Conseil de la Mission Lasallienne en Belgique-Sud.

Vous pouvez télécharger ici l’affiche sur le Conseil de la Mission Lasallienne

Voici les interventions de différents participants et des animateurs de ces deux journées :

Montage PPT de Mme Annick Hachez, Directrice de l’Institut Saint-Barthélemy à Châtelineau

Montage PPT de M. Jean Bouillon, Institut Saint-Ferdinand à Jemappes

Des témoignages d’une élève, d’enseignants et de représentants de PO

La première intervention du Frère Jacques d’Huiteau

La première intervention du Frère André-Pierre Gauthier

La seconde intervention du Frère André-Pierre Gauthier

L’intervention du Frère Claude Reinhardt

La seconde intervention du Frère Jacques d’Huiteau

La conclusion et l’envoi du Frère Claude Reinhardt

Nos liens:

1) Lasal-liens

Maison Mère à ROME : www.tarifs.org/billet-vatican-chapelle-sixtine
VLP : www.vlp-scholennetwerk.be
Frères Belgïe-Noord : www.fscvlaanderen.be
Frères de France : www.lasalle-fec.org
RELEM : www.relem.org
ASSEDIL : www.assedil.org
ARLEP : www.lasalle.es
ASBL Mutien-Marie : www.mutien.be
Brevet d’Art : www.brevetdart.be

2) Enseignement Catholique Belgique francophone:

Enseignement libre catholique de Belgique : enseignement.catholique.be
COREB : www.religieux.be
ASSOEC : www.assoec.be
www.pastoralescolaireliege.be
www.pastorale-scolaire.net

3) Enseignement Communauté française de Belgique:

www.enseignement.be
www.enseignons.be

Contact

Association des Ecoles Lasalliennes
Siège social :
Mont de La Salle
Avenue d’Huart , 156
5590 Ciney
adresse mail : ipfec.ciney@sec.cfwb.be
N° tél. 083/23 21 23
N° fax 083/23 21 25

Frère Patrick VANDEPUTTE
Visiteur Provincial Frères des Ecoles Chrétiennes
Mont de La Salle
Avenue d’Huart , 156
5590 Ciney
adresse mail : vandeputte.patrick@yahoo.fr
N° tél. bureau : 083/23 21 00

Marc VERKOYEN
Inspecteur Principal Coordonnateur
Bureau :
Rue Moris 19
1060 BRUXELLES
adresse mail : m_verkoyen@yahoo.fr
N° tél. bureau : 02 537 12 43
GSM : 0476 300 939

Alain Nicolas
Coordinateur Equipe du Fondamental
12, rue de la Queue-Terre
5030 Sauvenière
adresse mail : alainnicolas01@skynet.be